En cette journée du 
8 mars des droits des femmes , au marché du km36, l’engouement des femmes nécessite peu à la préoccupation de la célébration de leurs droits qu’à la recherche de leurs quotidiens pendant ce mois de ramadan.
Une journée internationale des droits des femmes consacrée à la lutte pour l’égalité des sexes et la reconnaissance des droits des femmes dans le monde entier , pour mettre en lumière les avancées, les defis restants et les discriminations encore présentes, cela saute aux yeux chez certaines vendeuses des femmes au marché du km36. c’est le cas de l’une des vendeuse du poisson fumé, Mariam Nabé qui s’est prêtée à notre micro 《 Tout ce qui me préoccupe pendant ce mois de ramadan est la recherche du quotidien de ma petite famille, si j’ai un droit à réclamer c’est de dire aux autorités de nous rendre la vie facile dans ce marché. Les clients se font rare, ce que je gagne ne peut pas couvrir l’entièreté du besoin de ma famille, mon mari est à la maison c’est un ouvrier mais il ne travaille pas》. Cette vendeuse du poisson fumé n’est pas la seule en marge de cette célébration des droits des femmes , c’est le cas aussi pour cette vendeuse de chaussure Bintou bangoura : 《Cette célébration des droits des femmes n’a pas lieu d’être célébrée pendant ce mois de ramadan. Tout le monde doit se mettre à l’essentiel d’accomplir son jeûne et la seule façon que je trouve d’accord pour la célébration de notre droit c’est de préparer la nourriture de la rupture et offrir aux nécessiteux ou aux notables de la mosquée pour chercher au moins de la bénédiction 》a-t-elle affirmée cette vendeuse de chaussure.
Les autorités doivent jouer un rôle important dans la célébration des droits des femmes, en braquant un regard bienveillant aux femmes dans les différents marchés, faire preuve de grâce, de doléance et de Clémence pour leur rendre la vie facile afin que chacune d’elles se sentent animer du plaisir de célébrer cette journée sacrée de leurs droits.
